C’est un dossier politique éminemment complexe, tout le monde en conviendra. Nous n’essayerons pas ici de le décortiquer, mais pour ceux et celles qui voudraient lire une réflexion intéressante vous pouvez allez sur le site suivant qui recèle plusieurs articles de réflexion: cliquez ici, ensuite sur journal en haut à gauche
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MANIFESTATION
10 août 2014 à midi Émilie Gamelin, métro Berri-UQAM
Mentionnons simplement que la Palestine est un territoire occupé depuis plus de 60 ans par les gouvernements israéliens qui se sont succédé. Quant à l’enclave de Gaza, plus petite que l’Île de Montréal, où vivent 1.8 million de personnes, Israël y maintient un blocus complet depuis 2006, ce qui en fait selon de nombreux experts la plus grande prison à ciel ouvert au monde. La majeure partie de la population (écoles et hôpitaux et autres services publics) y est soutenue par les programmes de l’ONU. Les tensions entre la puissance occupante (Israël) et la résistance palestinienne (quelqu’en soient les formes) se vivent au jour le jour comme une « guerre de basse intensité » avec ses morts, ses blessés et ses milliers d’arrestations de Palestiniens (plus de 6 000 sont actuellement détenus). Mais à l’occasion, Israël tente le grand coup pour affaiblir la résistance en bombardant directement Gaza et en ciblant les infrastructures (eau, électricité, écoles et hôpitaux) touchant directement les populations civiles, d’où les massacres que nous constatons. En faire plus que de manifester. Comment arrêter ces massacres ? Cela passe sans doute par une solution politique du conflit. La pression sur l’État d’Israël est incontournable. On peut le faire en participant à la campagne de boycott internationale. Pour en savoir davantage : cliquez ici, ensuite sur résultat de la recherche